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Opportunite d'affaire

Bonjour a vous

 

                      Pour commencer ce message, je vais droit au but et sans faire de détour, pour vous présenter cet opportunité qui m’aide déjà et qui peut vous aider à gagner de l’argent en investissant. Vous allez être d’accord avec moi que l’investissement est la base vers l’indépendance financière. Alors je me fais un devoir de vous communiquer les opportunités qui s’offrent à moi, car c’est en aidant les autres qu’on s’aide soi-même, et je suis sûr que tout comme moi vous aspirez a l’indépendance financière.

 

                     L’opportunité que je vous présente  est « BEONPUSH ». Au fait c’est quoi beonpush ? C’est une compagnie qui gère des espaces de publicité sur internet, un  marché en pleine expansion car en 2015 les grandes entreprises ont dépensé 140 milliards de dollars en publicité sur internet. Avec beonpush vous pouvez prendre part a ce marché par des investissements qui peuvent démarrer aussi bas que 20 dollars us jusqu’à 10.000dollars US.

                       Pour vous inscrire c’est gratuit, ensuite vous acheter des packs de publicité sur beonpush que les entreprises vont utiliser et payer pour leur publicité et en retour vous gagner de l’argent sur votre investissement. Vous pouvez aussi sponsoriser d’autres personnes et ces sponsorisation vous ferons gagner des bonus supplémentaires  et ainsi bâtir une équipe gagnante.

 

J’ai mis en attaché un fichier avec beaucoup plus de détails sur l’opportunité beonpush que vous pourrez lire et apprendre encore plus. Utiliser le lien qui se trouve à la fin de la présentation ou en dessous de ce message pour vous rendre sur beonpush et effectuer votre inscription.
                   

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Si vous avez des questions à ce sujet, n’hésitez pas à me contacter pour plus d’explications.

 

meitatron@gmail.com

 

Les opportunités n’attendent pas, ils passent.

 

https://www.beonpush.com/s/meitatron

 

https://www.beonpush.com/banner/250_250/jpg/meitatron 

 

 

 

 

 

 


15/06/2016
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Gout du lire

                 

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 La lecture n'a que des avantages. Elle est le meilleur moyen pour l'apprentissage, le développement mental et l'expression orale. Elle développe les fonctions cognitives dans des proportions étonnantes. Lire est du meilleur profit à tout âge.

                      Pour rester jeune et belle ou beau... au moins dans sa tête, rien de mieux qu’un bonne dose de lecture et ceci de manière intelligente, efficace et efficiente. Car tout comme prendre soin de sa peau, on peut aussi prendre soin de son cerveau et de son intellect, et l’un des moyens les plus surs de le faire c’est par les livres. Pour s’assurer d’une peau ayant une belle apparence, d’une douceur et d’une clarté exceptionnelle, on prend le soin de bien choisir un savon, une crème  et même une eau de qualité pour avoir le meilleur résultat possible. Il y va de même pour le cerveau, il faut prendre soin pour choisir sa lecture. Oui choisir sa lecture,……, choisir sa lecture de manière intelligente et avisee, car il ne faut pas lire pour lire, mais lire pour aboutir un resultat intelligible, tangible et efficient par rapport a certains objectif fixe et du domaine de connaissance souhaite.

La lecture est autrement plus riche. Il faut décider par nous-mêmes des visages, des genres, des lieux, etc. Et cette implication met en œuvre une infinité de capacités cognitives, pour leur plus grand bien.

Si, par exemple, vous lisez (comme présentement) le mot « maison », que se passe-t-il dans votre tête ? Votre cerveau va chercher dans votre mémoire tout ce qu'il sait sur les maisons. Parmi les résultats, il va sélectionner ce qui correspond au mieux avec ce qui semble lié au contexte. Selon que l'action se déroule en Alaska ou à l'équateur, la représentation de la maison sera différente.

Ensuite, les dimensions de l'édifice seront variables, toujours selon les éléments du livre. La maison abrite-t-elle une famille ? Des gens aisés ou pauvres ? Et ainsi de suite, jusqu'à former une représentation cohérente avec l'ensemble. Ces milliers d'opérations se sont déroulées en quelques fractions de secondes, et avec un seul mot. Imaginez le bouillonnement mental qui a lieu dans l'esprit à la lecture de tout un livre ou un article ! Or, de l'avis de tous, seule une activité mentale soutenue et régulière peut développer nos facultés cognitives et surtout les préserver en cas de dégénérescences

Avec la lecture, « On peut faire ce qu'on veut, dit un jeune  lecteur de 10 ans. On peut faire déborder notre imagination en créant et façonnant  chaque personnage comme ça nous fait plaisir et en fonction de notre plaisir. Quand on lit un livre, on dirige plus les choses que quand on regarde la télé. » Le psychanalyste Bruno Bettelheim faisait observer que « la télévision bride l'imagination en mettant une barrière figée au lieu de le libérer. Un bon livre peut provoquer stimulation dynamique de l'esprit, mais facilite sa libération en même temps ».

Il est vrai que la télévision reste excellente lors, par exemple, de présentations documentaires où les images renseignent sur certains aspects. Mais au-delà des seuls avantages visuels, le texte écrit reste la meilleure source d'informations et d'apprentissage. « On a remarqué que des émissions adaptant pour la télévision des livres pour enfants ou des thèmes scientifiques incitent les jeunes à se tourner vers des livres abordant ces sujets. », d'après The Encyclopedia Americana. Avec équilibre, il semble donc possible d'user intelligemment de ces moyens d'information. Reste que sur le plan cognitif, la lecture remporte tous les suffrages.

Reginald Damerall, de l'université du Massachusetts, déclare : « Aucun enfant ou aucun adulte ne devient meilleur du fait de regarder de plus en plus la télévision. Les dispositions requises (pour la tv) sont si élémentaires qu'on n'a pas encore entendu parler d'incapacité à ce sujet. » Un professeur de littérature dit également : « La réussite d'un élève dépend énormément de son vocabulaire, autant dans ce qu'il comprend en lisant que dans sa manière de raisonner par écrit, et il n'y a absolument pas d'autre moyen d'acquérir un vocabulaire étendu que de lire.

Plus fort encore, la lecture est intrinsèquement liée à nos capacités orales. Autrement dit, si vous voulez parlez mieux et plus juste, lisez et lisez encore. Certes, l'exercice oratoire réclame lui aussi un entraînement, voire une formation. Mais ce qui alimente l'expression orale c'est notre « réservoir » mental et documentaire qui se nourrit, quant à lui, par la lecture.

La lecture, peut développer la patience. Neil Postman, spécialiste en communication, a écrit : « Les phrases, les paragraphes et les pages se déroulent lentement, à tour de rôle, et selon une logique qui est loin d'être intuitive ». Le lecteur doit nécessairement construire sa lecture, interprétant, comparant, évaluant et jaugeant chaque page et sa relation avec les autres. L'incroyable processus mental qui sous-tend la lecture insuffle persévérance, détermination et patience. Certains avancent que des lecteurs « invétérés » finissent par se couper de leur environnement tant ils restent plongés dans leurs livres. C'est possible, mais le but vise par ce livre c’est de souligner les immenses avantages de la lecture et non d'inciter les lecteurs - justement - à ne rien faire d'autre. Par ailleurs, certains se coupent effectivement de leur environnement mais pour des raisons divers et variees autres  que la lecture. Citons les jeux vidéos, à peine mentionnés, et leurs pénibles dépendances. Il est, certes, important de savoir comment nous partageons notre temps de façon saine et équilibrée. La lecture reste, par essence, une activité riche et avantageuse.

 

A suivre.....

 

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23/06/2015
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Dany Laferrière: Un anti-Senghor à l’Académie française

 

Dany Laferrière: Un anti-Senghor à l’Académie française

Par Saïdou Alcény Barry

Après Léopold Sedar Senghor, premier Noir à siéger à l’Académie française en juin 1983, voilà Dany Laferrière, trente-deux ans plus tard. Deux noirs, deux styles. Autant le premier était coulant, autant le second est rugueux. Un nouveau venu qui risque d’ébranler la Coupole.

Le romancier canado-haïtien Dany Laferrière est devenu, à 62 ans, membre de l’Académie française dont il occupe désormais le fauteuil n°2. Celui qu’avaient occupé Montesquieu, Dumas fils et que lui cède le romancier argentin Hector Biancotti, son dernier occupant.

L’admission de l’auteur du roman Comment faire l’amour avec un Nègre sans se fatiguer dans cet univers compassé de vieux gardiens surprend. Dany Laferrière, contrairement à Senghor qui était béat de reconnaissance devant la France, est un trublion, un Haïtien fier de l’être.

On se souvient que Senghor répondant à la question de savoir pourquoi il écrit en français dira: « Parce que nous sommes des métis culturels, […] parce que le français est une langue à vocation universelle. […] Et puis le français nous a fait don de ses mots abstraits – si rares dans nos langues maternelles -, où les larmes se font pierres précieuses. Chez nous, les mots sont naturellement nimbés d’un halo de sève et de sang ; les mots du français rayonnent de mille feux, comme des diamants. Des fusées qui éclairent notre nuit. »

Une réponse qui astique les pompes du colonisateur tout en jetant sous la boue les langues africaines, cette langue ayant été imposée par la violence et restant comme un pis-aller pour les intellectuels africains. Aussi en usent-ils à regret et son effet est pareil à celui d’un vomitif !

Quant à Dany Laferrière, lorsque sur TV5, un journaliste lui demande pourquoi il écrit en français, insistant au passage sur la qualité de cette langue qui recèlerait certaines valeurs, sa réponse peut être résumée ainsi. « Pour rien, la langue française comme toute langue n’a aucune valeur. Ce sont ses locuteurs qui donnent des valeurs à la langue. Car les Résistants comme le Vichyste parlaient français tout autant comme aujourd’hui les discours de la haine contre les Noirs ou les Juifs sont en français ».

Douche froide! Le trio de journalistes est déstabilisé. Apparemment, ils s’attendaient à ce qu’il embouche la trompette de Senghor pour vanter la langue de Molière, débiter les poncifs sur le français langue des droits de l’homme, de la diplomatie, de la poésie et cætera.

Mais c’est oublier que Dany Laferrière est haïtien, et comme Toussaint Louverture [ou Jean-Jacques Dessalines], le fondateur de sa nation, il n’a aucun complexe ni aucun devoir de reconnaissance envers la France. Son pays s’est affranchi en chassant le colonisateur français de l’île. Faisant ainsi de Haïti la première nation noire libre. Senghor n’a pas réussi à couper le lien avec le pays colonisateur, malgré l’indépendance octroyée en 1960. La Francophonie dont il est l’instigateur n’est-elle pas une autre façon de se remettre au service de l’ancien maître ?

D’ailleurs, dans son discours d’entrée à l’Académie, on se serait attendu à un éloge de la littérature française. Mais Dany Laferrière avoue ne pas s’intéresser à la littérature française contemporaine, qu’il trouve faible parce que repliée sur elle-même. Ainsi, il cite rarement les auteurs français. Il est resté à quelques classiques comme Montesquieu. C’est aux auteurs haïtiens, canadiens et sud-américains qu’il se sent redevable.

Même de l’utilité de l’Académie il dira qu’on a aussi besoin d’institution inutile, une façon de reconnaître son inutilité. On l’aura compris, pour l’auteur de l’Art presque perdu de ne rien faire, le fauteuil n°2 servira plus à faire la ronflette que la joute lexicale. Il insiste sur le fait que ce sont les écrivains qui font la langue et non les procureurs.

Dany Laferrière et Léopold Sedar Senghor


08/06/2015
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Intelligence Emotionnelle (Suite)

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                   En situation de réseau, celui qui se sent en sécurité jouit d’un atout considérable. Le contre-exemple extrême est le timide qui vit plutôt dans la crainte du jugement, la peur de mal faire, de mal dire. Et l’insécurité qu’il ressent mobilise une énorme partie de son attention, ce qui le handicape fortement. Cette 2ème aptitude est primordiale pour réseauter car elle permet de véhiculer de la confiance, ingrédient essentiel de toute relation.

                               Celui qui est tendu va diffuser des signaux de stress lesquels seront immédiatement perçus par les autres. De plus, la tension corporelle consomme beaucoup d’énergie. Il est donc important que vous abordiez toute situation de réseau en ayant pris soin en installant au préalable, une bonne dose de détente. Cela vous rendra plus fluide dans vos mouvements et donc plus naturel. De plus, la détente du corps rejaillit sur les émotions en générant de la sérénité, autre ingrédient clé de la confiance. Il existe des exercices simples de relaxation qui ne prennent que quelques minutes.

Dans son livre sur l’intelligence émotionnelle, paru en anglais en 1995 et traduit en français chez Robert Laffont en 1997, Daniel Goleman présente l'intelligence emotionnelle sous la forme d’une faculté fondamentale nécessaire pour la gouverne de la vie dans le monde moderne. Dans un article sur le réseau Internet, Sarah Vandermeer (2000) présente schématiquement les cinq sections de ce livre de Goleman, qu’elle identifie comme suit :

  1. la première aborde la fonction des émotions dans la vie;
  2. la deuxième cherche à cerner la réalité de l’intelligence émotionnelle;
  3. la troisième aborde les applications de cette intelligence;
  4. la quatrième entrevoit les conséquences de faire ou de ne pas faire usage de cette sorte d’intelligence; et
  5. la cinquième s’arrête sur le manque d’intelligence émotionnelle dans le monde moderne et sur certaines approches abordées par des écoles actuelles pour remédier à l’absence de cette forme d’intelligence.

Le contrôle de l’anxiété et des émotions est une excellente façon d’optimiser le rendement. On comprend que l’état émotionnel produit par l’anxiété est nécessaire pour commencer à obtenir des résultats dans l’action; qu’on peut en contrôler la dose jusqu’à optimiser le rendement; mais qu’on peut aussi en perdre le contrôle et tomber à sa merci. Si nous n’arrivons pas à contrôler notre état émotionnel, c’est lui qui nous contrôle.

Si l’état émotif d’une personne détermine l’efficacité de son action, on pourrait prédire l’effet bénéfique sur l’activité humaine de facteurs de détente tels que le rire. À ce propos, Goleman indique que l’état d’esprit de quelqu’un qui vient de rire augmente l’aptitude à penser avec souplesse et facilite la résolution de problèmes.

                                       Pour aider quelqu’un à surmonter une difficulté, Goleman suggère de lui raconter une histoire drôle, car le rire libère la pensée et facilite les associations d’idées. (Goleman, 1997 : 114) L’effet bénéfique du rire est particulièrement profitable lorsqu’on est confronté à un problème dont la solution demande beaucoup d’imagination. Goleman cite une étude qui a montré que des personnes qui viennent d’assister à une émission d’humour résolvent plus facilement un problème utilisé depuis longtemps pour tester l’imagination et la créativité.

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L’intelligence émotionnelle est un atout en affaires. Elle concerne la capacité de percevoir et de gérer les émotions et d’en tenir compte pour mieux s’adapter à son milieu. Généralement, les personnes qui sont douées d’intelligence émotionnelle sont considérées comme des leaders dans leur groupe de travail.

Quoi qu’il en soit, vous comprenez maintenant que oui, l’intelligence émotionnelle se stimule, se travaille, s’améliore… et peut finalement permettre à l’individu, même en manque de connaissances techniques, de faire sa place dans un environnement qui tendra à le considérer comme une personne sereine, douée d’une compréhension d’une adaptabilité réelle.

 

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28/05/2015
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L'intelligence Emotionnelle

L'intelligence Emotionnelle

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QU’EST-CE QUE L’INTELLIGENCE ÉMOTIONNELLE ?

Selon Salovey et Mayer, l’intelligence émotionnelle est une forme d’intelligence qui suppose la capacité à contrôler ses sentiments et émotions et ceux des autres, à faire la distinction entre eux et à utiliser cette information pour orienter ses pensées et ses gestes.

 

  • L’intelligence émotionnelle se mesure par le quotient émotionnel (QE) et peut se définir par:
  • La compréhension de ses émotions
  • La maîtrise de ses émotions et de ses impulsions
  • La compréhension des émotions d’autrui et la façon d’y réagir
  • L’inspiration et l’influence sur les autres
  • Le développement des émotions et la gestion des conflits. 

 

L'intelligence émotionnelle, c'est-à-dire l'art de jongler avec les émotions, permet d'adapter notre comportement à toutes les situations, de naviguer dans une société toujours plus complexe, et de prendre les bonnes décisions. Et à ce petit jeu, ce ne sont pas les plus gros QI qui s'en sortent le mieux.

                                           Au début des années 1990, la découverte de l'intelligence émotionnelle a levé le voile sur une bizarrerie : 70% des personnes dotées d'un QI moyen dépassent celles qui ont un QI élevé. Avec la mise en évidence du rôle de l'intelligence émotionnelle, l'idée, largement répandue, que seul le QI pouvait mesurer la réussite, a été battue en brèche. Aujourd'hui, les chercheurs s'accordent pour dire que l'intelligence émotionnelle est LE critère qui distingue les génies du commun des mortels. L'intelligence émotionnelle (IE), c'est l'art de manier les émotions qui influent sur notre comportement, nous permettent de naviguer dans une société toujours plus complexe, et de prendre les bonnes décisions.

                                        Tout le monde ressent des émotions. En revanche, seules 36% des personnes sont capables de les identifier précisément lorsqu'elles surviennent, selon l'étude réalisée par TalentSmart. Problème : les émotions, lorsqu'elles ne sont pas nommées, peuvent être cause d'incompréhensions, conduire à des choix irrationnels et à des actions contre-productive. Les personnes émotionnellement intelligentes ne se contentent pas de comprendre leurs émotions : elles connaissent leurs points forts et leurs points faibles. Elles savent aussi ce qui les met en mouvement, et quels sont les environnements favorables au succès. Elles savent utiliser leurs forces pour en tirer profit et mettre à distance leurs failles pour ne pas se laisser entraver.
L'intelligence émotionnelle va de pair avec la maîtrise de soi. Vous évitez d'agir sur un coup de tête. Des recherches menées à l'Université de Californie, à San Francisco, ont montré que les personnes qui ont du mal à dire non ont plus de risques d'être stressées, en proie au burn-out, à la dépression. Dire "non" est pour beaucoup de personnes un défi, un mot difficile à prononcer. Au contraire, quand ils disent "non", les intelligents émotionnels évitent les phrases comme "Je crois que je ne peux pas..." ou "Je ne suis pas sûr que..." Dire "non" à une proposition de plus honore les engagements déjà pris et vous permet de vous y consacrer pleinement.

 

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Les 9 modes de performance de l’Intelligence Émotionnelle

  • Confiance
  • Adaptatif
  • Persuasif
  • Créatif
  • Motivationnel
  • Emo-régulé
  • Relationnel
  • Focus
  • Intuitif

Chacun de ces modes est un subtil réglage d’une quinzaine de ressources émotionnelles qui œuvrent en arrière-plan : estime de soi, désir, sentiment de sécurité, optimisme, empathie, plaisir, intuition etc. C’est le niveau de ces différentes ressources à un instant T qui déterminera votre mode ainsi que celui que vous pouvez activer. Une personne émotionnellement intelligente est donc celle qui est capable d’activer le bon mode au bon moment. Cela en mobilisant ses ressources émotionnelles.

 

(A Suivre....)

 

 


28/05/2015
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